bebe

Publié le 5 Août 2017

Toi,

Tu es un ami,

Tu es un mari,

un soutien,

Tu es un père,

Mon homme.

 

On s'est rencontré il y déjà 8 ans. Je n'aurai jamais pu imaginer ce temps passé à tes côtés si beau et si précieux.

Ton soutien face à mes demandes, et aux épreuves que la vie nous a imposé. Ton soutien dans mes décisions et mes choix pour nos enfants. Ta présence chaque jour, rassurante, pleine. Ta discrétion, tu restes toujours confiant là où je doute, debout là où je tombe. Sure de nos choix même lorsque je doute sans cesse.

Nous avons déjà vécu plusieurs vie, celles de deux jeunes amoureux, puis d'un jeune couple, puis celle d'un couple face à l'infertilité, puis parents d'un enfant puis de 2. La vie à distance pendant tes formations...

Tu es ce père aimant et doux, tu sais mettre des limites, tu es ce Papa Ours, qui protège sa famille, tu es calin et joueur. Mais aussi intransigeant. Tu es ce papa toujours volontaire qui s'est toujours levé pour changer les couches de la nuit, ou me donner bébé pour l'allaitement. Tu es ce papa attentionné qui me laisse faire la grasse matinée, qui fera des poupouilles pour soulager une vilaine varicelle...

Tu as milles facettes, je les aimes toutes un peu plus les unes que les autres, un peu plus chaque jour.

Merci d'être cet homme fantastique, et d'être ce papa Ours merveilleux.

Jet'aime 

Bonne fete des pères 

 

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Futilités, #Vie de Maman, #Bébé, #Grossesse, #Lifestyle, #Enfants

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Publié le 4 Août 2017

Hello,

Me voici de retour,

le rythme commence à s'installer et moi à trouver un peu de temps pour moi entre 2 machines et têtées. Là il me faut choisir a quoi je vais occuper mon temps.

Aujourd'hui c'est le blog et je voudrai vous parler de l'acupuncture, comme toujours, ce n'est que mon avis, et ça n'a pas de valeur médiale. Ce qui a marché pour moi ne marchera peut être pas pour tout le monde.

 

J'ai fait de l'acupuncture à 2 reprises au cours de ma grossesse, sur la fin principalement.

La première fois c'était à 34 SA, quand on a découvert que Mademoiselle était en siège, pour la solliciter à se retourner dans le sens de la sortie en vue du déclenchement. La seconde fois c'était pour préparer mon col en vu du déclenchement justement.

A chaque fois la séance s'est déroulé au cabinet de la sage femme dans une ambiance feutrée et douce. Attention à ne pas faire comme moi qui avait mis mes bas de contention, alors qu'il y a plusieurs point sur les pieds. J'ai galéré comme pas possible entre mon ventre, mon jean slim et mes bas. Après un échange avec la sage femme, je m'allonge, la sage femme me montre les points où elle va piquer, et les aiguilles à usage unique qu'elle utilise. Elle m'explique comment respirer lorsqu'elle pique. Ce n'est pas douloureux du tout pour moi. Rien à voir avec une prise de sang par exemple.

J'ai ensuite senti des fourmillement dans les points de pique et cela s'est diffusé dans mon corps. Sans que cela ne soit douloureux. Lors de la séance destiné au "retournement", ma fille s'est beaucoup agitée dans mon ventre alors que pour la seconde séance elle n'a pas bougé du tout. Et en effet, elle n'était pas concernée par la manoeuvre.

Pendant le temps de pause, la sage femme a diffusée une musique de relaxation et ma aidé a me relaxer par la parole afin de permettre une bonne circulation de l'énergie.

A la fin de la séance, on retire les aiguilles, il n'y a ni douleur ni saignement. Le fourmillement a cessé immédiatement même si il n'était pas du tout génant ou douloureux.

 

Pour le retournement, ma fille était très active après. Elle s'est retournée dans les 48heures qui ont suivis. Pour le col, il est passé de fermé et "pas du tout pret" à 1 et "un peu plus pret". Une deuxième séance l'aurait vraiment modifié. Cela m'a déclenché des contractions mais pas le vrai travail malheureusement. Je suis cependant persuadée que l'acupuncture a aidée dans le travail et sur cette fin de grossesse. 

 

C'était une expérience plutot agréable, pas du tout douloureuse. Je recommanderai à toutes celles qui veulent essayer de passer par une sage femme formée à l'acupuncture, qui saura prendre en compte toutes les dimensions de la grossesse. N'angoissez pas et n'attendez pas trop de l'acupuncture. Il faut être détendue et ouverte d'esprit pour que cela fonctionne.

 

Avez vous essayer l'acupuncture . Ca vous a aidé ?

 

A bientot !!

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Grossesse, #Futilités, #Vie de Maman, #Bébé, #Lifestyle, #Enfants

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Publié le 22 Juin 2017

Il y a un mois, tu as eu 2 ans. 

Le matin de ton anniversaire, j'ai cherché où sont passées ces 2 premières années, en vain. Je me souviens de chaque heures de ce 11 mai 2015. Je me souviens de la veille, de cette appréhension face au déclenchement, de toutes ces questions et de cette impatience.

On m'avait prévenue pourtant, fait attention la première année passe vite, et après c'est pire encore. Cette année tu as beaucoup changé, moi aussi. je me suis préparée à devenir maman une deuxième fois, j'ai savourée ces moments 2 en 1 et de pouvoir être plus présente pour toi. Mais malgré tout ça, j'hallucine un peu quand je me rends compte que le bébé que je tiens dans mes bras ce n'est pas toi, mais que tu es ce grand bébé (mais toujours mon bébé) qui me tiens la main.

Quel choc lorsque tu es rentré dans ma chambre à la maternité, tu me semblait tout à coup tellement grand, plus sur de toi, plus malin. J'ai eu l'impression de louper tant de choses pendant ce séjour à la maternité. J'ai été heureuse de faire éclater cette bulle et de te retrouver à la maison. Chez Nous. Avec toi et ton Papa.

Alors un mois après ces 2 bougies, je n'en reviens toujours pas, de te voir sourire avec presque toutes tes dents, de tes 92 cm de hauts, de tous ces nouveaux mots que tu apprends et des phrases que tu commences à faire. Tu es ce petit garçon malicieux qui me fait rire et que j'ai du mal à gronder tant certaines de tes bétises sont comiques. Certes parfois je perds mon sang froid et fronce les sourcils et alors tu me dis de ta petite voix fluette "non pas faché maman", et tu es si attachant à ce moment là que mon coeur se pince et fond. Alors je sourit.

Tu croises les bras avec un air sérieux, tu tapes du pied plein de colère lorsque l'on te contrarie. Tu dis sans cesse, c'est moi, pour qu'on te laisse faire, tu as des rituels et peut entrer dans des colères noire si on ne les respecte pas.

Tu es ce grand frère si attachant qui cherche sans cesse "cheur" sa soeur, (parce que à force la sucette ça avance les dents et ça change les "s" en "ch"), qui lui fait des gatés, veut lui remettre sa sucette. Tu poses ta main sur son ventre avec toute la tendresse dont tu es capable du haut de tes 2 ans et elle est déjà immense.

Tu es ce petit bout de petit bonhomme en devenir qui me remplit de joie et de douceur. Tu es vif, tu grimpes, tu cours, mais tu es aussi prudent et précautionneux. 

Tu connais les animaux et leurs cris, certaines couleurs, tu aimes quand je chante surtout la chanson des crocos et même si je chante faux. tu réponds un grand "ouiii" quand je dis que je t'aime.

En faite je pourrai écrire encore de nombreuses pages sur tout ce que tu es.

L'essentiel, c'est que tu es mon fils, tu as soufflé très fort sur ta petite bougie,

Moi, je suis une maman très fière de son petit gars. Je t'aime mon petit chat.

 

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Futilités, #Vie de Maman, #Bébé, #Lifestyle, #Enfants, #Come Back

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Publié le 18 Mai 2017

Hello,

 

Vous l'aurez remarquez peut être je me suis absenté quelques temps, celui de donner naissance à notre fille le 27 avril dernier.

Tout le monde va bien. Je vous raconterai très bientôt comment s'est passé cette aventure. En attendant je voulais évoquer une autre aventure, vécue il y a quelques mois : l'allaitement.

Attention, je ne suis pas là pour donner des leçons ou des conseils (pour celà mieux vaut contacter la Leache League), je souhaite simplement vous faire part de mon expérience d'allaitement.

***

Le contexte 

Notre fils est né en mai 2015, il pesait 2 200g. Pas besoin de vous préciser que c'est un petit poids, pas tout à fait normal à 36 SA. La faute à la fissure de la poche des eaux survenue à 27SA qui a entrainé un retard de croissance. J'ai accouchée dans une maternité de niveau 3, où il est courant de gérer des petits poi(d)s comme le mien.

Pour cela il y a une tonne de protocoles à mettre en place. Pour faire court il est important que bébé n'ait pas froid sinon il consomme de l'énergie et donc ses (maigres) réserves pour se réchauffer, il ne doit pas avoir chaud sinon il se déshydrate plus vite. Il doit manger 8 fois par jour au maximum toutes les 3 heures, jour et nuit. On évite aussi que bébé se fatigue trop longtemps sur le sein.

Autant vous dire qu'avec tout ça, ça a de quoi décourager plus d'une maman. Parfois, la montée de lait est longue à se mettre en route, le colostrum, ce premier lait, n'est pas forcément suffisant pour limiter la perte de poids. Certes cette perte de poids est normale et un nouveau né retrouve son poids de naissance dans les 10 jours mais chez un petit poids cela peut être dangereux.

Autant vous dire tout de suite que je suis très têtue, vraiment. Et lorsque j'ai une idée en tête je me donne les moyens d'atteindre mon but. Non sans me plaindre il est vrai mais c'est une autre histoire !

***

Mon expérience 

Bébé est donc arrivé en forme, il a têté au sein en salle d'accouchement. Cette têtée d'acceuil m'a comblée, enfin je faisait quelque chose de bien pour mon tout petit. A 36 SA, certains nouveau né ont un mauvais réflexe de succion, mais mon fils n'a pas été de ceux là et il a très vite compris où il fallait manger et comment ça marchait. Il a ensuite été complété à la seringue par du lait artificiel. Ce qui m'a fendu le coeur, mais je me suis fait une raison car c'était pour son bien.

Pour la première nuit, il était en couveuse. Il a eu un biberon puis on me l'a emmené pour têter et faire du peau à peau le matin. Ce fut un très beau moment durant lequel j'ai pris mesure de ce ventre vide et de ses bras pleins, ainsi que de mon nouveau statut de maman.

Notre petit pois têtait donc au sein puis prenait un complément. Je tirai mon lait pour obtenir le fameux complément. Quelle frustration de ne pas en avoir assez pour lui assurer ne serait ce que 20 mL de ration à chaque têtée. Mais la nature à ensuite été généreuse, et après la montée de lait le 3ème jour, j'ai pu comblé ses besoins.

On a ensuite fait des têtées complètes au sein à partir de 7 jours, une têtée sur 2 environ. Puis 2 sur 3. Puis les têtées se sont espacées et nous en sommes venus à un allaitement à la demande mais avec un bébé bien réglé la nuit par 3 heures en moyenne. Nous avons donc supprimé les biberons. Lorsqu'il a atteint son terme théorique et les 4 kilos, il a espacé la nuit les têtées et je pouvais dormir de minuit à 5h sans interruption. Puis à 3 mois, il a fait des nuits de 6 à 8 heures continues. En étant toujours au sein.

Il a eu des pics de croissance, où il était pendu au sein sans arrêt, vers 6 jours, 3 semaines puis 3 mois. Pendant ces moments, j'ai eu le droit à toutes les sottises du type "ton lait n'est pas assez riche ou nourrissant" "tu n'as pas assez de lait" "tu vas en faire un capricieux". Je n'ai jamais écouté tout ça. Je me fiait au sourire de mon fils en fin de têtée, à sa courbe de poids quasi verticale (j'exagère à peine) et à mon instinct de mère. Heureusement, l'Homme m'a toujours soutenu et souvent il avait plus confiance en moi que moi même. 

Il n'a jamais fait de confusion sein-tétine, ni sein-biberon. C'est une chance et ça ne se passe pas toujours comme ça. On lui a donné une tétine vers 2 semaines et demi, surtout pour la voiture, les moments de crise. Elle a été très utile à partir de 2 mois lorsque son RGO est apparu, la succion et la salivation le soulageait.

J'ai allaité de partout, et n'ai jamais eu de mauvaise expérience. Juste des regards de travers parfois mais sans plus. Un serveur nous a même proposé un jour de faire chauffer le biberon si besoin. Alors que mon fils avait têté sous son nez 20 minutes auparavant. Mais il n'avait pas remarqué. Il faut savoir être discrète, avoir un lange à portée de main, et des vêtements adaptés.

J'ai pu tirer mon lait pour le compléter, faire garder bébé, et congeler mon lait en prévision de la reprise du travail. Le mode Vache Power n'est pas ce qu'il y a de plus sexy, mais ça faisait beaucoup rire mon mari. Mais il fallait tirer régulièrement, faute de quoi la quantitée que je réussissait à tirer diminuait. 

Je n'ai jamais été fatiguée. Au contraire. 

Mon mari ne s'est jamais senti mis à l'écart ou été jaloux. Il a trouvé sa place à travers le bain, les changes, les promenades ou bercements.

J'ai usé et abusé de l'homéopathie, de la tisane d'allaitement et aussi du galactogil pour m'aider pendant les fameux pics de croissance. Tout ça marchait très bien. J'ai pris soin de mes seins avec la crème lansinoh et est eu la chance de ne jamais avoir de crevasse. C'est une crème à base de lanoline pure, qui répare, nourrit, protège et soulage. Elle ne se rince pas avant la têtée suivante. Pour mon deuxième allaitement j'ai pris la marque dodie.

J'ai chéri chaque moment où j'ai allaité mon fils.

***

Le sevrage

Il s'est fait en douceur. A la reprise du travail, vers 4 mois, j'ai fourni mon lait maternel que j'avais congelé ou que je tirai à la crèche. Bébé têtait matin et soir et weekend. Assez vite, le lait à diminuer la journée. Arrivée à cours de lait maternel congelé et n'arrivant plus à têter, il est passé au lait artificiel la journée. 

A 5 mois, bébé est tombé malade (merci les virus de la crèche). Et il a refusé le sein. Surement parce qu'il ne lui apportait pas assez ou pas assez vite, c'était son premier bobo et j'ai été très anxieuse. Il têtait moins le matin et le soir, préférant faire des calins et jouer plutot que têter. Le biberon m'a remplacé. J'ai trouve un nouveau plaisir à lui donner le biberon et mon flux de lait s'est tarit rapidement et sans douleurs.

 

***

Ma préparation

Avant de me lancer dans l'allaitement, je me suis renseignée (facile en étant auxiliaire de puériculture) l'allaitement fait partie de mon métier. Mais ce n'est pas toujours facile d'être de l'autre côté du miroir. Je me suis donc appuyée sur mes connaissance et ai lu notamment L'art de l'allaitement maternel, bible de l'allaitement promue par la Leache League. Mais j'ai aussi lu des articles sur internet et leur site.

J'ai massé mes seins tout au long de ma grossesse pour prévenir les vergetures et aussi préparer mes bouts de sein. J'ai investi dans de la tisane, de l'homéopathie, des coussinets, des brassières d'allaitement. Bref la totale. Mais aussi dans 2 biberons au cas ou.

Mieux vaut donner un biberon avec bonheur que le sein avec dégout.

 

***

Voilà pour ce qui est de mon expérience, j'ai adoré allaiter mon fils pendant 5 mois, et j'allaite avec bonheur ma fille depuis 3 semaines. Je reviendrai bientôt sur l'allaitement, sur les avantages et les inconvénients de l'allaitement pour moi.

A bientôt !

 

Luky Beauty

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Futilités, #Vie de Maman, #Bébé, #Grossesse, #Lifestyle, #Enfants, #Puériculture

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Publié le 23 Avril 2017

Hello,

 

Je vous ai raconté lors de mon retour, comment il y a plus de 2 ans, je suis tombé enceinte de notre premier enfant suite à quelques accidents de parcours et trébuchage. Puis je vous ai parlé de ma grossesse si particulière et de mon accouchement. Je reviendrai sur la première année de mon fils, la diversification et toutes les grandes étapes dans de prochains articles.

Aujourd'hui, je voulais vous raconter comment notre petite pomme est arrivée, plus ou moins par surprise dans notre vie.

Déjà, il faut savoir qu'à la maternité, ils m'ont mis la pression sur la contraception. Parce qu'une première grossesse pouvait soit disant tout débloquer. Moi, ça me faisait marrer. Et puis je me disais "ba si il arrive un petit deuxième, pas grave hein on en veut 2 justement". Puis bon on s'est dit que c'était bien qu'ils aient un peu d'écart, et qu'on prenne notre temps pour découvrir notre petit garçon que nous avons tant attendu. On s'est donc mis d'accord (ChériChou, les sages femmes et moi) pour passer au préservatif après l'accouchement avant de prévoir la pause d'un stérilet quelques temps plus tard. En plus, avec l'allaitement (j'en reparlerai bientôt aussi) j'espérai ne pas avoir de retour de couches trop rapide.

On a donc mis en place notre plan, on l'a appliqué. Bon le stérilet et moi on était pas vraiment copains. Et puis l'envie d'un deuxième était bien forte quand même. En plus mes cycles sont revennus tout irréguliers et sans ovulation. Donc j'en ai déduit que la grossesse avait rien réparée du tout chez moi (pas de bol ma vieille). Rapidement on s'est dit bon si il faut de nouveau plus d'un an de traitement et 9 mois pour la grossesse on va pas attendre sinon ils auront 4 ans de différence.

Donc j'ai fait posé mon stérilet en septembre, et je l'ai fait retiré en Janvier. Alors là faut que je précise que c'est un gynécologue qui m'a posé mon stérilet. Mais une sage femme qui me l'a enlevé. Car quand j'ai demandé un rendez vous de retrait de stérilet on m'a dit "pas avant 3 mois" et que "si c'était pour le retirer aussi vite il fallait réfléchir un peu plus". Donc GROS COUP DE GUEULE là, car, zut quand même chacun est libre de faire ce qu'il veut de son corps, et à le droit de disposer de son corps. J'ai donc trouvé une gentille sage femme, qui m'a retiré mon stérilet sans me juger.

 

Ba oui, parce qu'en faite, beaucoup de femme ne le savent pas, mais la sage femme ce n'est pas que pour l'accouchement. Elles t'accompagnent tout au long de ta vie de femme et avec compréhension et respect. Elles sont souvent accessibles et compréhensives. Elles s'occupent de la contraception, des IVG, de la préparation à l'accouchement, de plus en plus elles sont formées aux échographies, elles accompagnent grossesse et accouchement puis post partum et rééducation périnéale. Bref, vive les sages femmes !

Bon j'en reviens à mes moutons. Nous sommes en Janvier j'ai fait sauter mon stérilet et j'attends que les vilaines reviennent. Et j'attends... Très vite je reprends rendez vous avec ma gygy de PMA, qui nous refait passer les examens de controles avant d'envisager un traitement. Et on se rend bien compte que ça ne marche pas toujours fort de mon côté.

En mai, on repars sur un protocole d'insémination artificielle qui foire magistralement. Et on me découvre suite à de fortes douleurs abdominales des calculs au niveau de la vésicule biliaire. Ce n'est pas rare surtout chez les femmes, surtout après de lourds traitements hormonaux ou une grossesse. Le verdict tombe rapidement, il faut m'opérer et retirer la vésicule. C'est ce qui est fait en Juillet. S'en suit un mois de convalescence. Bizarrement mes cycles sont longs mais a peu près réguliers, et je compte les jours qui me séparent du mois de Septembre et de la reprise des traitements.

Au mois de Septembre, la rentrée se déroule sans accroc, et j'attends patiemment que les vilaines reviennent. J'ai espoir un jour car j'ai de légers spottings, mais ça ne dure qu'un jour et disparait. Je commence à m'impatienter. Ma gygy me dit que si ils ne reviennent pas sous 10 jours il faudra passer sous Duphaston pour déclencher mon cycle artificiellement. Le lendemain, je me lève avec un début de sinusite bien costaude, mon médecin me demande de faire un test avant de pouvoir me placer sous cortisone ou antibiotiques.

Nous sommes le vendredi soir, le labo est fermé, je décide de faire un test pipi le lendemain matin avant d'aller chercher mes médicaments. Pour moi, il est impossible que je soit enceinte, et l'idée de devoir faire une prise de sang pour rien et de devoir attendre les résultats avant de pouvoir prendre le traitement destiné à me soulager, est une perte de temps.

Me voilà donc le samedi matin, vers 5h30 (premieres urines obligent) en train de faire pipi sur mon petit baton en comptant les sacro saintes 8 secondes. Je l'abandonne. Me rhabille. Me lave les mains. Et reviens le voir. Et là...C'est positif.

Mes premiers mots pour ChériChou ne sont qu'un addition de jurons. Il regarde lui aussi le test avec de gros yeux ronds. On s'embrasse. Wahou, c'est donc comme ça que le vive les autres femmes ?

Je décide rapidement d'aller faire une prise de sang à l'ouverture du laboratoire à 7h30. Nous aurons les résultats vers 13h. Ils confirment ma grossesse et la date de la mi Aout je suis donc enceinte de déjà 7 semaines d'aménorrhées ! Quel choc ! Je n'ai aucun symptomes contrairement à ma première grossesse (mais ça c'est une autre histoire).

***

Moi, l'infertile, je suis finalement tombée enceinte naturellement...

Je sais que malheureusement cela ne se passe toujours ainsi pour tout le monde, j'ai conscience que nous avons eu de la chance, mais je voudrai aussi dire aux mamans ou aux futures mamans ou aux essayeuses en difficulté que tout peu arriver, que le nature a ses secrets. Restez positives, gardez espoirs, et surtout Courage!

 

Je vous raconterai bientot comment nous l'avons annoncé à nos proches, comment j'ai vécu cette grossesse...

J'espère que ça vous a plu !

 

A Bientot !


Luky Beauty

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Grossesse, #Vie de Maman, #Bébé, #Lifestyle, #Infertilité, #PMA

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Publié le 16 Avril 2017

Hello,

Comme vous le savez surement déjà, lors de ma première grossesse, j'ai été hospitalisée dès mes 27 semaines d'aménorrhée suite à la fissure de ma poche des eaux. Mais dès le début de ma grossesse, les médecins m'avaient annoncés qu'ils déclencheraient mon accouchement au plus tard à 38 semaines d'aménorrhée suite à mes antécédents médicaux. Lorsque j'ai fissurée la poche des eaux, ce délai à été raccourci à 36 semaines d'aménorrhée.

Dès le début de ma grossesse, j'ai fouiné (à tort surement) sur internet et les forum pour avoir des informations sur le déclenchement. De par ma formation professionnelle d'Auxiliaire de Puériculture, j'ai entendu beaucoup de choses, beaucoup d'histoire. Ce qui revennait surtout c'est que le déclenchement lors d'un premier accouchement et sur un col fermé pouvait être très long. Ce qui ne me rassurait pas du tout.

On lit facilement des témoignages de jeunes mamans qui sont épuisées après un accouchement ayant duré 36 heures voir plus. Avec parfois des pratiques difficiles à supporter pour ces mamans, la privation de repas, la fatigue, les touchers vaginaux répétés. Pour parfois terminer en césarienne. J'ai pu aussi parler avec les sages femmes présentent dans le service où j'étais hospitalisée, qui ont essayées de me rassurer sans me mentir.

 

*** 

 

***

 

Mes 36 SA tombaient un lundi. Le dimanche, les médecins se réunissaient, revoyaient les dossiers de la semaine, et faisait un tour. Par chance c'est mon gynécologue qui était de garde ce weekend là et c'est donc lui qui m'a annoncé, que je serai bel et bien déclenchée le lendemain. Par quel biais, ça on ne le savait pas encore mais on le saurait dès l'examen de mon col par la sage femme.

Comment ça quel biais ? En fait, pour faire simple, et dans mon cas, si mon col était au moins dilaté à 2 cm, le déclenchement se ferai directement en salle d'accouchement par intraveineuse (perfusion). En cas de col non dilaté à au moins 2 cm, il faudrait poser un tampon, enduit de produit au contact du col, pour permettre de "démarrer" son ouverture et ensuite passer à l'intraveineuse. Autant vous dire tout de suite que la deuxième solution était apparement la moins sympa et la plus longue.

Là le stress monte grave. Je prie pour que mon col soit sympa. Après tout, j'ai fissuré la poche des eaux, et le liquide favorise la dilatation du col (histoire hormonale ou je ne sais pas trop quoi en faite). Donc je me dit que peut être qu'il y a moyen. Mais d'un autre côté ben j'ai pas vraiment vu l'ombre d'une contraction depuis le début de ma grossesse, or, ba pour dillater un col, le moyen le plus direct c'est les contractions.

La sage femme arrive finalement et met fin à mon attente et au suspens. Tombage de culotte (je déteste ça) enfilage de gants (Glups). Et hop toucher vaginal (brrrr). Elle sourit. Vous êtes à plus de 2cm mais pas tout à fait 2.5cm. Là elle me propose de décoller les membranes, afin d'accélérer encore la dilatation, afin que les conditions soient optimales le lendemain. Autant vous dire que ce n'est pas du tout agréable comme histoire. Elle me prévient, ça peut déclencher des contractions.

J'attends, mais rien ne vient. Quand l'Homme arrive, la sage femme me propose d'aller faire un tour de l'hopital afin de favoriser tout ça. Oh Joie ! Oh Bonheur ! Me voilà dehors ! A marcher péniblement dans ce charmant hopital. Il fait beau et chaud, mais je me traine. Après 2 mois allongée, j'ai l'impression d'avoir perdue tous mes muscles, l'Homme rale, parce que j'ai la vitesse d'un escargot sous ectasy, bref, je suis heureuse malgré tout.

De retour dans ma chambre, je ferme ma valise, le lendemain je devrai changer de service pour celui de la maternité. Lavage de cheveux, dernier repas, dernier bisous. Les sages femmes me proposent quelque chose pour m'aider à dormir, que je refuserai puis accepterai finalement. Et Hop ! Dodo.

 

***

 

 

***

Le lendemain c'est le grand jour. Nous sommes le lundi 11 mai. Et normalement d'ici ce soir, nous serons parents et je ne serai plus 2 en 1. Je suis à jeun, pas de petit dej. A 9h, je descend en salle d'accouchement, un peu stressée quand même. L'Homme doit me rejoindre plus tard, enfin pas trop tard non plus. Il a posé un jour de congé (Bon salut les gars bon weekend et à bientot lundi ma femme accouche hein). 

Une fois en salle d'accouchement déshabillage et enfilage partiel d'une magnifique blouse option fesses à l'air. Pourquoi partiel ? Parce que je n'enfile pas une manche à cause de la perfusion pour faciliter l'accès à ma poitrine pour la suite des évènements. Glamour garantie. On me fait avaler un breuvage bizarre et peu délicieux pour m'éviter les vomissements. L'Homme arrive. 

Il est temps de passer aux choses sérieuses, vu que je suis d'une nature peu facile à piquer (merci veines qui roulent et qui claquent), c'est une infirmière anesthésiste qui se colle à la tâche très sympa de me poser un cathéter afin de faire passer le produit permettant le déclenchement. Elle est très gentille et très douce. elle réussit à me poser la perfusion dès le premier coup et le produit commence à être injecté. Je suis aussi placé sous monitoring.

Autour de 10h/10h30, les contractions commencent à se faire sentir. Elles augmentent peu à peu et à partir de 12h, je suis obligée de me concentrer sur chacune d'elle et sur ma respiration pour supporter la douleur. Je cherche une position confortable, mais j'ai du mal à trouver. Je suis entravée par le monitoring, bébé est bien engagé dans mon bassin et c'est difficile de bien le capter suivant ma position. Pour ma part les contractions se ressentent surtout dans le bas du ventre, dans le haut des cuisses et surtout dans le dos.

 

*** 

*** 

Vers 12h30, la sage femme me propose de regarder mon col, et de finir de rompre la poche des eaux. Je suis dilatée à 3, ce qui est bien en si peu de temps. Elle finit de rompre la poche, Splatch. Les contractions continuent. Elle me propose la péridurale, je préfère attendre encore un peu.

A 13h30, je fatigue vraiment les contractions sont intenses, je demande la péridurale. L'anesthésiste arrive rapidement et la pose se fait bien. L'Homme en profite pour aller manger un petit bout et revient vite. Il est présent, et un peu désemparé de me voir douloureuse sans pouvoir rien faire pour m'aider. La péridurale me soulage vite et la sage femme vérifie à nouveau mon col qui est maintenant à 4

 Il est 14h, je suis maintenant branchée à la perfusion, mais aussi au monitoring ainsi qu'à l'appareil à tension et au capteurs cardiaques. Difficile de bouger. Mais je trouve une solution et m'installe confortablement. Je sens encore mes jambes mais plus la douleur. Je suis détendue et en profite pour parler avec mon Homme et envoyer quelques textos pour rassurer tout le monde.

La péridurale marche bien, lorsque les contractions redeviennent douloureuse, je peux appuyer sur un bouton pour envoyer une nouvelle dose qui me soulage. Puis les contractions reviennent et sont rapprochées sans que la péridurale ne me soulage plus.

Il est 17h, j'appel la sage femme, j'ai des contractions toutes les 2 minutes, la douleur est revennue, la péridurale est finie. Elle rappelle l'anesthésiste pour faire une recharge rapide. Bébé commence de son côté à fatiguer. La sage femme me propose alors de poser une petite sonde sur le dessus de son crâne pour mesurer correctement les battements du coeur du bébé.

Elle m'examine et prépare tout ce qu'il faut pour poser cette petite sonde. Mon col est à 6, elle me dit qu'elle n'est pas sure que ce soit elle qui m'accouche car elle pense qu'il me reste encore quelques heures de travail. On attend l'anesthésiste. L'anesthésiste renvoit un bolus de produit et me soulage.

La sage femme s'installe pour poser le capteur. Là elle me dit que mon col se dilate plus vite qu ce qu'elle pensait. Il passe de 6 à 9. A 17h30, la sage femme annonce qu'on va bientot s'installer. L'Homme va vite au toilettes. Et la sage femme me fait pousser pour voir comment je me débrouille. Elle me dit que c'est très bien. Ouf !  

A 17h45, on s'installe. Le col est ouvert complètement, bébé appuie et me donne envie de pousser. Il faut y aller ! L'Homme se place à ma tête. Et c'est parti ! Je pousse, la douleur est toujours là en fond et au moment du passage de la tête, je sens surtout une brulûre. C'est supportable. En quelques poussées, bébé arrive.

Il est 17h51 et je suis maman d'un tout petit garçon qui pleure tout de suite, et qui devient rose. Il est chaud, il est doux. Il se blottit contre moi, je suis la plus heureuse. Mon Homme est tout ému, nous sommes merveilleusement heureux. Nous coupons le cordon. L'Auxiliaire emmène ensuite notre petit bout pour lui faire les premiers soins. 

Notre petit gars pèse 2 180g. La délivrance est difficile, le placenta reste coincé, et il faut me faire une révision utérine. L'anesthésiste revient pour me refaire une dose de péridurale avant. La sage femme m'annonce ensuite la bonne nouvelle : Périné intacte. Je n'aurai que 2 tout petits points de suture. Et surtout notre petit garçon se débrouille très bien tout seul pour respirer puis pour têter.

***

A quelques jours/semaines de mon deuxième accouchement, qui sera aussi un déclenchement, je suis à la fois sereine et un peu plus angoisée. L'angoisse disparaissait sous la joie de rencontrer mon bébé et de pouvoir sortir ensuite de l'hopital avec lui. Après 2 mois d'hospitalisation c'est une bonne motivation.

Je vous raconterai bien évidemment mon deuxième accouchement qui je l'espère sera aussi parfait que le premier et aussi rapide...

A bientot !!

Luky Beauty 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Vie de Maman, #Grossesse, #Bébé, #Lifestyle, #Enfants

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Publié le 13 Avril 2017

Hello,

Il fallait absolument que je vous parle de cette ceinture, elle est magique. En tout cas, pour moi elle l'a été lors de ma première grossesse et m'aide bien lors de la deuxième.

Plantons le décor, lors de ma première grossesse, je souffre dès le début d'une forte hyperlaxité, et de grosses douleurs ligamentaires. Pendant le premier trimestre, c'est dur dès que je bouge, et par période et ça n'est pas mes nausées pluri-quotidienne qui m'aide à supporter ça.

Puis au début du troisième trimestre, je suis hospitalisée suite à la fissure de ma poche des eaux (de notre poche ? de la poche ? bref) et je ne sais pas si c'est lié à cette fissure ou pas, mais bébé est bien bas dans mon bassin, tête en bas en position starting block. Et là, j'ai la symphyse pubienne qui dérouille. En faite la symphyse pubienne ma petite dame c'est l'espace au niveau de ton pubis, là où ton bassin "se referme". Et pendant la grossesse cet espace, il s'agrandit encore plus jusqu'à 6mm ma petite dame. Rien que ça. Alors on se dit 6 mm c'est pas grand chose mais en faite, 6mm ça commence à dérouiller. Tout ça pour permettre à bébé de passer sa petite tête.

Le corps est bien fait, il connait son boulot. Oui, oui pas de souci, le mien a du voir un peu trop large...j'ai douillé. En plus, avec l'alitement tout ça, ça n'aide pas. Donc j suis à l'hopital, je râle, j'ai mal. on me propose du kiné mais bon ce n'est pas vraiment ça. Et puis un jour une sage femme me parle de Bernadette De Gasquet, et de la ceinture Physiomat. Bon après tout je n'ai rien à perdre. Je l'a commande sur le site Symbioza, une chouette boutique à Lyon pour les futures et les mamans. Ma maman est passé la récupérée, et me voilà avec la bête.

Qu'est ce que c'est que ce truc ?

C'est une ceinture, qui se scratche au niveau du bassin. Puis il y a deux élastiques a resserrer afin d'ajuster au mieux le maintien.

On positionne la ceinture au niveau sacro illiaque, elle s'attache donc devant sur la symphyse pubienne. Ainsi, elle maintien le bassin, le "resserre", le bascule très légèrement ainsi elle décambre le dos et soulage. 

Elle est recommandé en cas d'hyperlaxité ligamentaire, de douleurs sacro-illiaques, d'envie fréquente d'uriner, de sensations de pesanteur, de problèmes circulatoire et de mobilité de la symphyse pubienne. Elle maintiens le bassin, le soulage et empèche les mauvaises positions. Ainsi, pendant la grossesse, elle est une alliée pour toutes les futures mamans. Elle soulage aussi le périné et maintien le ventre.

N'ayez aucune crainte quand à une atrophie des muscles ou autre. Parlez en à votre sage femme. Personnellement elle m'a vraiment soulagée. Idéalement il faut essayer de la porter régulièrement d'autant plus lors de vos déplacements.

Cette ceinture est aussi très utile en post partum. En effet, les hormones de la grossesse rende votre corps plus élastique pour permettre le passage de bébé dans le bassin. Votre corps peut etre sollicité très fortement lors du passage de bébé, d'autant plus en cas d'utilisation de forceps ou de ventouse. Votre bassin est sollicité et votre sacrum fragilisé. Depuis toujours, les femmes se bandent le bassin après l'acouchement pour l'aider à se resserrer, à reprendre sa position initial d'avant grossesse. Une forte mobilité du bassin entraine des douleurs et de mauvaises positions. Croyez moi on a pas vraiment besoin de tout ça.

Cette ceinture va remplacer la bande de coton utilisée traditionnellement. Elle maintiens, et resserre le bassin. Il est recommandé de la porter pendant les 21 jours qui suivent l'accouchement. c'est le temps qu'il faut minimum à votre corps pour que l'imprégnation hormonale diminue et que l'hyperlaxité disparaisse.

Pour cette grossesse ci, je n'ai pas attendu que les douleurs s'installent, et j'ai utilisé la ceinture dès le premier trimestre afin de soulager mon dos et mon bassin. Je l'utilise encore, et je compte bien la porter pour le post partum. Je la recommande vraiment aux mamans et futures mamans qui sont fragiles du dos ou du bassin, très cambrées, ou avec des problèmes de poids par exemple. Elle sera votre amie.

Ceci n'est pas un dispositif médical, ça ne marche pas à tou les coups, je ne suis pas médecin. Il faut biensur en parler avant à sa sage femme ou son kiné ou medecin ou ostéopathe afin de vérifier qu'il n'y ait pas de contre indication. Elle est en vente libre sur différents sites internet.

Il y a 2 tailles faites attention lors de votre commande.

 

Cette ceinture correspond à a philosophie et la pratique du Dr Bernadette De Gasquet. Son approche en douceur, et ses exercices ont pour but de préserver les abdominaux et le périné. C'est un programme facile, et complet qui permet la préparation prénatal et post natal. De plus en plus de sage femme et professeur de Yoga y sont formés. Elle est l'auteur de : "Abdominaux, arretons le massacre".

 

Est ce que certaines parmi vous on utilisé cette ceinture ou une autre pendant la grossesse ? Avez vous souffert de douleurs pendant votre grossesse ?

 

A bientot !

 

Luky Beauty !

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Futilités, #Vie de Maman, #Grossesse, #Bébé, #Lifestyle

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Publié le 11 Avril 2017

A toi mon fils,

C'était il y a 2 ans et pourtant j'ai l'impression que c'est hier que dans cette chambre d'hopital je comptais les jours qui me séparaient encore de toi et de notre rencontre. Pourtant tu étais au creux de moi, à grandir de ton mieux, à grandir bien (car le mieux est l'ennemi du bien, et tu as toujours fais bien). Tu es mon petit guerrier, qui a attendu patiemment, calmement que le jour soit venu.

C'était il y a 2 ans, ça faisait un mois que j'étais hospitalisée suite à cette poche des eaux qui nous jouaient des tours. Tu as su être sage. Tu n'étais plus qu'à moi pourtant, tu avais déjà un pied dehors, et notre intimité n'était plus. Nous avions quittés le coin feutré de notre chez nous. Une part de moi comptait aussi les jours restant...Les médecins ont dit 30 jours encore, 30 jours jusqu'aux 36 semaines d'aménorrhées. La fin de la prématurité.

C'était il y a 2 ans et mine de rien, le moi égoïste voulait accoucher, pour retrouver ma liberté et rongeait son frein, face à ce mauvais tour du destin, de mon corps, de je ne sais qui...Le moi maman savait bien qu'il fallait te garder au chaud, gagner du temps et te laisser faire bien. 

C'était il y a 2 ans et pourtant je ne réalise pas que bientôt tu seras grand frère, dans l'insouciance de tes 2 bougies. Ce temps nous joue des tours. Je pense à ton anniversaire comme il y 1 an je préparai tes 1 an avec impatience. Pourtant maintenant j'aimerai revenir en arrière profiter à nouveau de tous ces moments si précieux.

Dans 1 mois, tu auras 2 ans, s'il te plait ne grandit pas trop vite mon fils, reste encore ce bébé qui me sert avec ses petits bras le matin après avoir enfilé son pantalon, qui fait "nez-nez" et qui me crie "oui" lorsque je te dit que je t'aime. Tes "maman" sont aussi doux que les "je t'aime" de ton papa, vous me comblez.

 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Vie de Maman, #Bébé, #Enfants, #Lifestyle

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Publié le 7 Avril 2017

Coucou !

 Je vous ai déjà parlé de mes problèmes d'infertilités, qui se sont soldés par un joli positif en septembre 2014. Je voulais donc vous parler de ma grossesse, et de son déroulement plein de rebondissements ! Prenez un thé et des petits gâteaux, pavé en vu !

Notre famille étant au courant de nos procédures et traitements, nous n'avons pas attendu 3 mois pour l'annoncer. Nous etions très heureux et avons partagé cette bonne nouvelle.

Malgré tout, j'ai été très angoissée dès le début de ma grossesse et redoutait une fausse couche. J'ai toujours eu en tête le chiffre terrible, une grossesse sur 4 se termine par une fausse couche. La plupart du temps avant la fin du premier trimestre. Mais ce n'est pas le sujet, et je ne me considère pas vraiment légitime concernant ce sujet.

Mon angoisse n'a fait que redoublée lors de la première échographie à la fin du mois d'octobre, je suis restée estomaquée de voir ce petit pois à l'échographie qui deviendrait notre petit garçon. Je suis restée interdite presque sans réaction. A partir de ce moment là c'est devenu mon petit pois, et j'ai été encore plus angoissée à l'idée qu'il puisse partir.

Puis est venu l'échographie des 12 semaines d'aménorrhée (10 semaines de grossesse), ou échographie de datation/échographie du premier trimestre. Elle a alors créée une nouvelle angoisse : celle de l'anomalie génétique. La mesure de la clarté nucale était bonne, mais le médecin m'a tout de même recommandée de faire un dépistage par prise de sang complémentaire. Nous aurions les résultats au mois de décembre, juste avant Noël.

A ce moment là, mon médecin, au sein de l'Hopital Femme Mère Enfant à Bron, à côté de Lyon, m'a demandé de m'arrêter de travailler. A ce moment là je travaillais en crèche et souffrait de violentes nausées du matin au soir, qui m'ont laissées sur le carreau. Mon travail est considéré par les médecins comme physique, et il était nécessaire pour mon médecin que je lève le pied afin de mettre toutes les chances de notre côtés que le grossesse se déroule sans encombre, de plus, je suis porteuse d'un Syndrome de Marfan, une maladie génétique qui entraine entre autre des problèmes cardiaques et une fragilité des tissus. On ne savait donc pas comment mon corps allait réagir face à ce chamboulement majeur qu'est la grossesse.

Me voici donc arrêtée, chez moi, heureusement, loin de tournée en rond, j'ai pu mettre mon temps à profit pour tricoter, coudre, ou lire. Malgré mes occupations, l'angoisse reste là et ne ma lache pas. J'ai la "chance" d'avoir une échographie à chaque visite mensuelle avec mon gynécologue. C'est ainsi que juste avant Noël nous découvrons que nous attendons un petit garçon, pour le mois de Juin. Les résultats de la prise de sang sont bon, notre petit n'ai pas porteur de Trisomie. Quand à ma pathologie, nous ne souhaitons pas qu'elle soit dépistée avant la naissance. Pour nous celà ne change rien, nous l'aimons déjà.

 

Je me projette déjà bien plus dans cette grossesse, commence même quelques achats et notre liste de naissance. Quel plaisir. Je me détends un peu. Mais je dois faire prochainement l'échographie du 2ème trimestre, et je redoute une malformation comme le bec de lièvre ou spina bifida. C'est donc angoissée encore une fois que j'attends le mois de Février. Mon Homme ne peut m'accompagner, il est en déplacement pour sa formation professionnelle. C'est ma meilleure amie et future marraine qui m'accompagne. Nous découvrons notre petit bébé, y compris en 3D, il va bien, et est en bonne santé.

Je souffle à nouveau et nous cherchons  a qui il ressemble le plus. Les formations de mon mari s'enchainent, il pars le lundi et rentre le vendredi. Je supporte mal cette absence. J'essaie de m'occuper. Mais l'angoisse reste le maitre mot de cette grossesse. Pourtant je n'ai aucune raison de m'angoisser, mon bébé va bien, il est en forme, il bouge bien, je suis en forme. Mon col est fermé, long. Je n'ai pas de contractions.

 

Un dimanche, nous partons nous promenez à pied. Au retour, j'ai l'impression de perdre du liquide. Je pense à des pertes blanches très abondantes comme ça arrive parfois lors de la grossesse.

Le lundi, je trouve que les mouvements de mon bébé sont plus rares, je commence à m'angoisser. L'angoisse montera et les pertes continueront jusqu'au jeudi. Le jeudi, trop angoissée, en larmes, mon mari me conseil de me rendre aux urgences.

Arrivée aux urgences, l'équipe me prend vite en charge. Ils me rassurent d'abord, mon fils va bien et je le vois bouger lors de l'échographie. Sa position, me cache ses mouvements. La sage femme me fait un prélèvement pour faire un test de dépistage de liquide amniotique. Ainsi, on saura si les pertes que je ressent sont normal ou non. Après un peu d'attente, on m'annonce que le liquide que je perds est bien du liquide amniotique et que donc j'ai fissurée la poche des eaux. Très vite, une sage femme et une interne viennent m'expliquer la suite des évènements.

On me refait une échographie pour évaluer le poids de mon bébé, je vais être hospitalisée dans le service de la grossesse pathologique de l'hopital. Des contractions peuvent se déclencher n'importe quand entrainant mon accouchement à 27 SA soit tout juste le début du 7ème mois. Notre bébé pèse 1000g, soit un paquet de farine. Mon mari revient en urgence de Paris où il est en formation pour être à mes côtés.

Tout s'enchaine ensuite. Je suis choquée ou en état de choc. Je ne pense qu'a une chose, non non non ce n'est pas possible, mon bébé ne peut pas naître maintenant. On me parle survit, néonatalogie. On me met sous perfusion d'antibiotiques. Mon bébé n'est plus en milieu stérile. Il peut donc attraper n'importe quelle infection. Voilà pourquoi je dois rester à l'hopital. Pour être sur place en cas d'évolution et à l'abri des vilains germes du monde. On me fait des injections de corticoïdes pour aider les poumons à se develloper, un IRM du racchi pour vérifier que je peux avoir une péridurale ou racchi anesthésie en cas de Césarienne, un monitoring.

Je suis transférée dans une chambre. J'y resterai presque 9 semaines. Mon entourage s'organise, mon mari gère, m'emmène mes affaires, je subis les examens, les tests, qui seront tous positifs au liquide amniotique. En effet, on me refait des tests car il existe une petite possibilitée que dans les premières semaines, la fissure se colmate. Ca n'arrivera pas. Les fuites persistent. En revanche je n'ai pas de contractions, pas de fièvre, mon bébé va bien et ne souffre pas.

 

J'ai conscience d'avoir de la chance, les semaines passent, notre petit bébé grandit, puis ralentit son rythme de croissance. Les médecins ne le disent pas franchement mais je vois bien que ce n'est pas normale. Il est en dessous des normes et des courbes. Surement à cause du liquide en moins grande quantitée qui entraine des défaillances dans les échanges ombilicaux. Notre fils sera en Retard de Croissance In Utero ou RCUI. Mais chaque semaine qui passe est un succès.

A 32 SA, nous quittons la très grande prématurité.

A 34 SA nous quittons la grande prématurité.

Ce sont des étapes décisives dans la croissance du foetus. Pour ses organes, ses poumons surtout et aussi sa capacité à têter et donc à s'alimenter seul.

Mon accouchement sera déclenché à 36 SA. J'ai un compte à rebours sur mon téléphone, j'attends d'être libérée. C'est terrible, car je sais que ce n'est pas bon pour bébé de naître aussi tot. Mais cela symbolise pour moi le retour à la vie normale, la sortie de l'hopital qui je l'espère pourra se faire avec mon bébé.

Je rencontre un pédiatre, l'anesthésiste. J'ai des monitoring matin et soir. Les sages femmes et toute l'équipe sont adorables et très présentes. Elles savent écouter, rassurer et sécher les larmes. La nourriture de l'hopital est horrible. C'est je crois le plus dur. Ca et le fait de ne pas pouvoir sortir pour prendre l'air ou me promener. L'emission des maternelles est devenue ma meilleure amie ainsi que mon smartphone qui m'a permit de faire les différents achats pour mon fils. Je ne dirai pas que ce fut facile, il y a eu des hauts et des bas, l'impression de vivre avec une épée de Damoclès au dessus de la tête. J'ai été très frustrée de ne pas être là pour préparer la valise, la chambre, le berceau.

J'ai passé du temps sur les forum notamment Doctissimo, et me suis fait un vrai réseau et des "amies" virtuelle, cela m'a aidé car certaines vivaient une situation similaires ou pire. Nous avons pu échanger, nous soutenir, on se donnaient des nouvelles. Attention, c'est parfois un piège et une source d'angoisse il ne faut pas tout croire...

Je sais que nous avons eu beaucoup de chance, et je savoure cette seconde grossesse qui ne se déroule pas du tout de la même manière.

J'espère que mon témoignage aidera les mamans qui passeront par là. Je vous raconterai bientot mon déclenchement, mon accouchement et post partum !  Restez connectés !

 

Bonne journée !

Luky Beauty 

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Grossesse, #Lifestyle, #Vie de Maman, #Enfants, #Bébé

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Publié le 29 Mars 2017

Hello,

Non, non je n'ai pas disparu, enfin un peu mais je suis là !

Je voulais absolument vous parler photo. J'adore la photo, j'adore faire de belles photos, je trouve que c'est un beau moyen de se faire des souvenirs et ça change des selfies ou des photos que l'on fait soit même ais sur lesquels nous ne sommes pas toujours tous les 3.

Pour ma première grossesse, j'en avais programmée une, mais manque de bol, j'ai été hospitalisée et elle n'a pas pu se faire.

Cette fois ci, pas question de se faire avoir, on l'a donc prévu suffisamment tard pour que mon ventre se voit, mais suffisamment tôt pour être presque sûre de pouvoir la faire.

Notre expérience :

On s'est adressé à Coralie Castillo, une photographe Lyonnaise, adorable, et qui fait un travail magnifique. J'adore son style Lifestyle, qui permet de faire des photos très naturelles, puisque prisent pendant un temps de jeu, un échange, une petite mise en scène. Pour les enfants c'est l'idéal. Surtout pour notre petit bonhomme de presque 2 ans qui adore dire non et ne pas faire ce qu'on lui demande.

Pas question pour lui de poser, de faire ce qu'on veut au moment ou on lui demande...c'est mission impossible. Alors que Coralie a assurée, elle a su prendre les bons moments, les bonnes expressions sans contraintes pour notre petit garçon.

Nous avons divisés la séance en 2 parties, une partie famille et l'autre grossesse. Coralie nous a emmené dans un très joli parc, elle a très bien compris quel type de clichés je voulais et a su nous guider sans nous imposer des poses qui auraient fait trop figées. C'était un super moment, en amoureux pendant la partie grossesse et en famille pendant la partie Lifestyle. On s'est calinés, on a été très complice et on s'est fait de beaux souvenirs. Le moment choisis par Coralie était parfait, la lumière était sublime.

Pour les lyonnais qui passeraient par ici, je vous recommande vraiment Coralie, elle fait aussi de sublimes photos de mariage, est vraiment à l'écoute, gentille, disponible, de bons conseils. Elle nous a même envoyé des tableaux Pinterest d'idées pour notre tenue ! Une vrai perle, avec un super feeling avec les enfants. Notre fils est dans une période de peur des étrangers, et elle a su l'apprivoiser et le faire jouer pour avoir de beaux clichés.

 

Mes petites conseils pour une séance réussie :

Choisissez le bon moment, parlez en avec votre photographe, il faut que vous vous sentiez bien, par exemple, ne pas le faire trop tard pendant votre grossesse, pour pouvoir vous mouvoir un minimum, vous asseoir au sol. Il faut vraiment faire connaissance avec votre photographe. 

N'hésitez pas à lui dire ce que vous ne voulez pas, cliché à l'appui si besoin, c'est souvent plus simple de savoir ce qu'on ne veut pas que ce qu'on veut vraiment.

Demandez à quelqu'un de votre entourage de vous accompagner, surtout si vous êtes en famille avec des enfants. Nous avions sollicité ma belle mère, et ainsi nous n'avons pas eu besoin de gérer notre fils pendant nos moments à nous.

Ne vous déguisez pas, cherchez une tenue qui vous ressemble, qui soit confortable, que vous aurez plaisir à voir sur les photos et dans laquelle vous vous sentez belle. Idem pour les enfants. Si c'est une séance en extérieur, privilégiez une tenue qui soit confortable pour eux et en accord avec le cadre. ou au contraire faites quelque chose de décalé, une seule chose compte vous devez vous sentir bien !

Apprivoisez l'objectif, demandez au photographe de faire quelques clichés d'échauffement pour vous habituer à cet oeil fixé sur vous, essayez d'être naturel, sans poser de façon trop figé sinon ça se ressentira sur les photos, éclatez vous !

Prévoyez une serviette pour vous mettre au sol, un gouter et des lingettes pour les enfants, un ballon, un vélo, des bulles. Mais parlez en avant avec votre photographe, lui aussi pourra vous conseiller.

 

J'espère que cet article vous aura plu, je vous laisse le lien vers le site de l'adorable Coralie et quelques clichés de nos beaux moments.

 

A bientôt !

Luky Beauty !

 

Séance photo de grossesse et lifestyle family, conseils inside
Séance photo de grossesse et lifestyle family, conseils inside

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Rédigé par Luky Beauty

Publié dans #Futilités, #Grossesse, #Vie de Maman, #Bébé, #Enfants, #Lifestyle

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